[] Vitesse : votre boîtier adopte une vitesse suffisante pour éviter le flou de “bougé” en tenant compte de la focale. Ouverture : l'appareil adopte une ouverture moyenne (et pour cela on doit monter parfois la sensibilité ISO). Activation du flash : automatique, fréquente et finalement gênante car on ne peut rien faire pour l'éviter.
Photographier en mode automatique a beaucoup d'avantages : c'est simple, rapide, et la photographie est réussie dans la plupart des cas. L'appareil prend en charge tous les réglages pour livrer une photographie correctement exposée, ne laissant au photographe « que » la responsabilité du cadrage. Alors, pourquoi ne pas en profiter ? L'argument souvent retenu lorsqu'il est question d'un « au-delà du mode automatique » est celui d'une plus grande liberté créative. Que faut-il entendre par là ? La possibilité de « jouer » avec les réglages : un sujet mis en valeur en ressortant net sur un arrière-plan flou, le mouvement suggéré au moyen d'un filé ou d'un arrêt sur image. S'affranchir du mode automatique est aussi le moyen d'apprendre à maîtriser le couple ouverture / vitesse dont le juste équilibre est la condition sine qua non d'une photographie correctement exposée (ni trop claire, ni trop sombre). Nous vous invitons à cheminer des modes automatiques (car il y en a plusieurs) jusqu'aux modes semi-automatiques et manuel. Le mode automatique est souvent dit « peu créatif » dans la mesure où il ne permet pas de «réaliser d'effets» tels qu'un jeu de mouvements (action figée, filé, etc.) ou un sujet placé dans une zone réduite de netteté.
Le mode automatique
Les modes
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